nous créons
La création est notre cœur de compétence : nous créons des espaces de rencontre et des projets pour la communication interne et externe et donnons un aperçu de l’activité des Écoles de l’Imagerie.
Jour fixe août
Second format
Brève rétrospective du dernier Jour Fixe :
Trois thèmes ont été abordés : les structures de fonctionnement des différentes Écoles de l’Imagerie, leurs situations financières respectives et des sujets autour des stratégies de mise en réseau et de la communication.
L’École de l’Imagerie volante comme idée (pour la création des Écoles de l’Imagerie en Suisse romande)
Un site flottant est très coûteux en termes d’organisation et de gestion du matériel. De plus, l’identification des enfants avec le lieu peut être plus difficile que sur un site fixe attitré.
Une bonne possibilité est de travailler avec des organisations partenaires, les coopérations sont utiles pour le processus (éventuellement aussi pour le financement ou l’établissement).
Un exemple bien établi est le Spielmobil à Bâle, une offre socioculturelle à bas seuil avec un chariot contenant tout le matériel nécessaire.
Un autre exemple est le Bilderwagen à Bâle, un projet interculturel en collaboration avec les maisons des jeunes de Bâle-Ville. Ce projet nécessite toutefois énormément de travail préparatoire et sa mise en œuvre est en même temps imprévisible. Les fondations ne financent généralement ce type de projet que pendant la période de démarrage.
Exemple : espaces satellites en dehors du site fixe ; la valeur ajoutée de tels projets est le travail dans différents quartiers ; le K’Werk Basel a fait au semestre dernier un projet en commun avec la structure de jour, réalisé avec des jeunes.
Autres sujets de discussion
Attirer de nouveaux jeunes dans les Écoles de l’Imagerie:
Idées de K’Werk Zurich : mettre à disposition un canal Instagram et des flyers dans les bibliothèques ; voir ces dernières comme des partenaires de coopération. Les jeunes sont intéressés par les offres techniques (valeur d’expérience), ou par le dessin ou la peinture. Ils ont beaucoup de choses à faire et sont souvent impliqués dans différentes activités en dehors de l’école (musique, sport, etc.).
I2a a proposé un atelier de cinéma (« Film dans la ville ») qui a suscité un grand intérêt. Le thème était formulé de manière générale et les jeunes ont tout élaboré eux-mêmes (avec le soutien des formateurs), du storyboard jusqu’au montage. Les enfants sont en principe plus faciles à convaincre que les adolescents.
Différents temps forts dans les Écoles de l’Imagerie : projets multigénérationnels, journées familiales, personnes issues de l’immigration ou sans-papiers, formations continues avec contenus et défis qui en découlent.
Le Kuka a élaboré divers projets avec différents groupes sociaux (cela implique beaucoup d’engagement, tant sur le plan administratif que sur celui du contenu et de la planification) : les journées familiales fonctionnent très bien, les parents s’approprient ainsi les contenus et sont très reconnaissants de ces valeurs empiriques ; un projet multigénérationnel avec pro Senectute a été proposé, ainsi que des formations continues régulières pour les enseignants. Le Kuka a également mené un projet avec 6 familles de sans-papiers, qui a très bien fonctionné.